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L’activité physique est reconnue pour ralentir l’évolution de la maladie

Pour les patients déjà sportifs les kinésithérapeutes conseillent de continuer l’activité physique dés que le diagnostic est posé. Pour le non sportif le thérapeute conseille et accompagne l’activité du patient sans porter de jugement.

Il apprend à connaitre son patient, il établi un bilan et adapte les soins au jour le jour en fonction de l’état du malade.

C’est une relation longue et de confiance qui s’engage, le kiné peut aussi être l’interface avec l’accompagnant.

Une certitude l’activité physique associée à la kinésithérapie est une arme pour freiner la maladie.

Pour le neurologue qui pose le diagnostic, les premiers  symptômes de la maladie sont moteurs : tremblements, raideurs, ralentissement … Pour pallier à ce type de symptômes et à la dégradation du taux de dopamine, la prescription de médicaments s’impose.

Toutefois il existe d’autres symptômes non dopaminergiques que sont les signes axiaux : troubles de la marche, de la posture, de l’équilibre… Sur ce type de symptômes les médicaments ont peu d’effets, il faut donc y associer la rééducation physique,  différentes activités et divers sports pour compenser les circuits déficients.

Dans tous les cas il ne faut pas rester immobile, l’activité permettant de rééduquer l’amplitude des mouvements, la mobilité et la dextérité.

Si la maladie est déjà bien installée le kiné intervient au domicile, le patient peut aussi effectuer un séjour dans un centre de rééducation.

Il faut aussi noter que l’activité permet de ne pas grossir car pour les patients qui envisagent une stimulation cérébrale profonde la prise de poids est un critère d’exclusion.

Merci au :

  • docteur Bertrand DEGOS Médecin chercheur – chef de service neurologie.
  • SCM Bompas Kinés, 4 rue V. Hugo Bompas.